Une mère...
C'est elle qui dans un cri de douleur
vous donne en cadeau la vie,
vous serrant fort contre son coeur
petit oiseau tombé du nid.
Une mère...
C'est elle qui apaise vos pleurs
seule,au milieu de la nuit.
c'est elle qui calme vos douleurs
dans une douceur infinie.
Une mère...
C'est elle qui guide vos pas
au cours de votre adolescence.
c'est elle qui vous tient par le bras
sans jamais perdre patience.
Une mère...
C'est elle qui vous comprend
d'un regard juste croisé.
c'est elle qui sait quand son enfant
se retrouve désemparé.
Une mère...
C'est elle qui souffre en silence
quand la maison se vide.
lorsque la vie se fait malchance
frappée par une sale maladie.
une mère...
C'est la sagesse du temps passé
forgée par les épreuves de la vie.
c'est un visage un peu froissé
rempli d'amour pour ses petits.
Maman...
Tu es cette mère attentive
que nous fêtons tous aujourd'hui
80 petites lumières furtives
brillent dans tes yeux, et c'est joli.
Calou
Bienvenue sur mon blog qui n'a pour but que de partager avec vous mes passions: Poésies - Peintures - Dessins Etc... j'aime également tout ce qui touche à l'ufologie , au paranormal et par-dessus tout je suis un contemplatif de la nature et de ses beautés que l'homme malheureusement se borne à détruire. Vous pouvez me laisser vos commentaires sur mes poèmes et autres dessins ou peintures. N'hésitez pas à déposer des liens vers les sites traitant des sujets qui me passionnent.
lundi 16 mai 2016
Rester debout....
Comment trouver les mots
devant l'inacceptable?
ne pas courber le dos
devant l'insupportable.
Montrer qu'on est toujours debout,
serrer les poings très fort
pour démontrer à tous ces fous
qu'on est unis face à la mort.
La douleur pourtant est intense
et pour certains c'est sûr
elle restera immense
car si grande est la blessure.
Des êtres aimés se sont éteints
sans que l'on sache pourquoi,
massacrés par des vauriens
au nom de quelle foi?
Celle d'une haine omniprésente
contre notre société
ivre de vie et insouciante
qui offense leur pensée.
Devenir rois du monde
est leur seule ambition.
Ils sont rois de l'immonde
Pour eux, nulle compassion.
Je pleure comme tout le monde
sur ce tableau si affligeant.
J'entend mon coeur qui gronde.
Quel avenir pour nos enfants?
Notre société est malade
seul l'amour pourra la sauver.
La haine est juste pour les minables
de cela je reste persuadé.
Calou
devant l'inacceptable?
ne pas courber le dos
devant l'insupportable.
Montrer qu'on est toujours debout,
serrer les poings très fort
pour démontrer à tous ces fous
qu'on est unis face à la mort.
La douleur pourtant est intense
et pour certains c'est sûr
elle restera immense
car si grande est la blessure.
Des êtres aimés se sont éteints
sans que l'on sache pourquoi,
massacrés par des vauriens
au nom de quelle foi?
Celle d'une haine omniprésente
contre notre société
ivre de vie et insouciante
qui offense leur pensée.
Devenir rois du monde
est leur seule ambition.
Ils sont rois de l'immonde
Pour eux, nulle compassion.
Je pleure comme tout le monde
sur ce tableau si affligeant.
J'entend mon coeur qui gronde.
Quel avenir pour nos enfants?
Notre société est malade
seul l'amour pourra la sauver.
La haine est juste pour les minables
de cela je reste persuadé.
Calou
si je pouvais...
Si je pouvais me réveiller,
sortir de ce cauchemar.
Revenir à ma réalité
pour effacer ce désespoir.
Mais je ne suis pas endormi
et sous mon regard incrédule,
je vois la société qui se meurtrie
devant des drapeaux que l'on brûle.
Tant de haine qui se propage,
des poings levés au nom de qui?
Tant de violence dans cet orage,
l'homme a sombré dans la folie.
Qu'elle était douce mon enfance
dans un passé qui semble loin.
Qu'elle était belle cette innocence
protégée par des gens de bien.
Oubliés ces temps paisibles,
la paix est mise en apostrophe,
car aujourd'hui l'imprévisible
est sous l'feu des kalachnikovs.
Si tous les dieux pouvaient s'unir
pour dire aux hommes leur dégoût,
s'aimer semblait pourtant suffire
mais le monde est devenu fou.
Calou
sortir de ce cauchemar.
Revenir à ma réalité
pour effacer ce désespoir.
Mais je ne suis pas endormi
et sous mon regard incrédule,
je vois la société qui se meurtrie
devant des drapeaux que l'on brûle.
Tant de haine qui se propage,
des poings levés au nom de qui?
Tant de violence dans cet orage,
l'homme a sombré dans la folie.
Qu'elle était douce mon enfance
dans un passé qui semble loin.
Qu'elle était belle cette innocence
protégée par des gens de bien.
Oubliés ces temps paisibles,
la paix est mise en apostrophe,
car aujourd'hui l'imprévisible
est sous l'feu des kalachnikovs.
Si tous les dieux pouvaient s'unir
pour dire aux hommes leur dégoût,
s'aimer semblait pourtant suffire
mais le monde est devenu fou.
Calou
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